Dès l’instant où l’homme choisit de trahir la confiance et l’autorité que Dieu avait placées en lui, l’Éternel mis en action son grand plan rédempteur à travers l’incarnation de Jésus-Christ.
L’évangile de Jean en particulier, nous parle de la préexistence de Christ, comme étant Dieu, de son expérience humiliante sur cette terre; puis de retour à son ancienne gloire et existence auprès de Dieu, dans le ciel.
Cependant, constamment depuis la mort spirituelle de l’homme, jusqu’à la naissance de cet enfant, Dieu répéta cette promesse de rédemption de différentes façons, prophétisant d’avance :
- Les souffrances du rédempteur
- Sa mortSa résurrection
- Son ascension vers le ciel
- Son retour glorieux pour régner avec les siens
Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils – Hébreux 1, 1 et 2.
Puis, lorsque les temps furent accomplis, Jésus est né. Le peuple juif, que Dieu avait préparé pour la venue de Christ, anticipait sa venue. La civilisation grecque avait doté le monde d’alors d’un langage précis et flexible que presque tous comprenaient.
À l’époque où Christ apparut, l’empire romain avait consolidé sous un gouvernement central et puissant, tous les pays dont les frontières touchaient à la Méditerranée. Ils firent construire d’innombrables routes et inaugurèrent plusieurs voies maritimes. C’était le temps propice à la parution de Christ, et à la promulgation de son message à travers le monde entier. Il venait tout d’abord nous révéler le Père : Personne n’a jamais vu Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l’a fait connaître – Jean 1, 18.
Puisqu’avec la chute d’Adam et Ève, la révélation divine avait cessé et l’homme avait dû apprendre à survivre dans un monde désormais son ennemi, en comptant sur ses sens naturels et sur son intelligence obscurcie par le péché. La connaissance de Dieu était extrêmement limitée.
Le peuple de Dieu lui-même n’avait d’autre connaissance de Dieu que ce que les sectes de l’époque leur enseignaient.
Les pharisiens, par exemple, projetaient l’image d’un Dieu tellement cruel, vengeur et tellement sévère, qu’eux-mêmes ne pouvaient mettre en pratique tous les commandements qu’ils avaient ajoutés.
L’image de Dieu était tellement changée dans leurs pensées, qu’ils ne le reconnurent pas lorsqu’il se présenta au milieu d’eux.
Jésus-Christ nous révélait un Dieu d’amour. Tous pouvaient venir à lui et recevoir sa compassion. Il ne venait pas juger ou condamner le monde puisque l’être humain était déjà jugé et condamné par le péché, mais pour racheter par son sang l’humanité toute entière.
Et qui, étant le reflet de sa gloire et l’empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s’est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts – Hébreux 1, 3.
Les Juifs le contemplèrent et ne purent en croire leurs yeux. Jamais personne n’avait parlé comme cet homme. Il appelait Dieu, son Père, avec assurance. Ils furent tellement surpris de son audace qu’ils voulurent le faire périr à cause de cela – Jean 5, 18. Sa vie était différente des autres puisque la loi de la mort spirituelle n’agissait pas en lui, car il était sans péché. Satan n’avait aucun droit ni aucune autorité sur lui.
Cependant, il était venu dans un autre but également. Il venait payer un prix. Son sang immaculé devait servir de rançon pour notre rédemption. Le but de son incarnation, était que nous puissions devenir ENFANTS DE DIEU.
Dans le domaine spirituel, il n’existe que deux groupes d’individus :
- Ceux qui sont SANS CHRIST ( Éphésiens 2, 12)
- Ceux qui sont EN JÉSUS-CHRIST (1 Corinthiens 1, 30 et 31)
À suivre.
Soyez Bénis!
Mario