Le Seigneur a dit : Ceux qui croiront….parleront de nouvelles langues ( Marc 16, 17 ). La seule chose qui nous empêche de recevoir ce parler, c’est notre incrédulité. Si nous croyons, nous parlerons car, peu importe ce que disent les gens, les dénominations religieuses, les organisations chrétiennes, selon la Bible, LA PROMESSE EST ENCORE VALIDE POUR CHAQUE PERSONNE.
Voici, en effet, ce que l’apôtre Pierre affirma immédiatement après la première effusion du Saint-Esprit dans la Chambre haute : Car la promesse est pour vous, pour vos enfants, et POUR TOUS CEUX QUI SONT AU LOIN, EN AUSSI GRAND NOMBRE QUE LE SEIGNEUR NOTRE DIEU LES APPELERA. (Actes des apôtres 2, 39)
La réception du baptême du Saint-Esprit n’est donc pas limitée à l’expérience de la Chambre haute, ni même aux premiers chrétiens, mais selon ce passage de l’Écriture, cette expérience prévaut pour toutes les générations, tant et aussi longtemps que le Seigneur les appellera.
Lorsque je suis venu à la connaissance du Seigneur Jésus-Christ, je n’avais jamais entendu parler du baptême du Saint-Esprit. J’ai donné ma vie au Seigneur un samedi soir, à la suite de la conviction du Saint-Esprit dans mon cœur, produite par l’opération du don de la parole de connaissance de la part du prédicateur invité ce soir-là.
Au moment de l’appel, je me suis avancé. Le prédicateur a prié pour que le salut de Dieu me soit donné, et en un instant, mes péchés et mon passé ont été pardonnés, et je suis né de nouveau. Quelle joie! C’était comme si un lourd fardeau venait de m’être enlevé. J’étais libre, pardonné et tellement bien.
Le mardi soir suivant, le pasteur de l’assemblée prêcha au sujet du baptême du Saint-Esprit. Je n’avais jamais entendu parler de ce sujet. Mes pensées et mes convictions religieuses ne pouvaient donc ni m’influencer ni me priver ou me rendre suspicieux au sujet de cette doctrine qu’il annonçait.
La Parole de Dieu qui fut annoncée ce soir-là pénétra dans mon coeur, et rapidement, la soif de vivre cette expérience s’intensifia jusqu’au moment de la prière à la fin de la réunion, alors que, convaincu de la réalité et de la nécessité de recevoir ce précieux don d’en-haut, je me précipitai pour le demander au Seigneur. La Bible dit : demandez, et vous recevrez.
C’est exactement ce qui arriva. Quelques instants plus tard, la puissance d’en-haut envahit tout mon être et, soudainement, je m’exprimais avec des mots que mon intelligence ne comprenait pas, mais qui m’absorbèrent dans une joie inexprimable. Je fus baptisé du Saint-Esprit. Gloire à Dieu. La promesse s’est accomplie.
Personne me l’avait imposé et je ne pouvais pas simuler cette expérience, car j’étais tout à fait ignorant au sujet du baptême du Saint-Esprit. Cependant, encore une fois, l’expérience de la Chambre Haute, vécue par les premiers disciples à Jérusalem, il y a plus de deux mille ans, s’était de nouveau manifestée. C’est aussi simple que cela.
Quelquesfois les gens pensent qu’ils ne sont pas dignes de recevoir ce précieux don. Ils pensent qu’ils doivent changer leurs mauvaises habitudes ou leurs faiblesses. Cependant, selon la Parole de Dieu, si vous êtes sauvé, vous être un candidat pour recevoir cette promesse.
Même si vous changiez vos mauvaises habitudes ou faiblesses, vous ne seriez pas plus dignes de le recevoir. Le baptême du Saint-Esprit vous est accordé afin de vous communiquer la puissance nécessaire afin de vous débarrasser de ces choses nuisibles.
Au deuxième chapitre du livre des Actes des apôtres, il n’est pas écrit : quand ils furent débarrassés de leurs mauvaises habitudes, MAIS : quand LE JOUR fut arrivé, ils furent tous remplis du Saint-Esprit. Les disciples n’attendaient pas afin de devenir dignes, mais plutôt Dieu attendait le jour de la Pentecôte, afin d’accomplir la quatrième fête de son calendrier, celle de la Pentecôte – Lévitique chapitre 23.
(à suivre)
Soyez bénis!
Mario