Ayant accepté le Seigneur Jésus-Christ comme notre Seigneur et notre Sauveur, tout comme Abraham, nous avons débuté notre VOYAGE DE LA FOI.
Un jour Dieu se révéla à un homme qui vivait en Chaldée du nom d’Abram. II lui demanda de quitter son pays pour un endroit inconnu. II promit de le bénir, ainsi que sa descendance. II changea son nom en celui d’Abraham, qui signifie père d’une multitude.
En vision, il lui montra une cité céleste qu’il habitera un jour éternellement. Voici ce que nous lisons dans Hébreux 11, 8 à 10 :
C’est par la foi qu’Abraham, lors de sa vocation, obéit et partit pour un lieu qu’il devait recevoir en héritage et qu’il partit sans savoir où il allait. C’est par la foi qu’il vint s’établir dans la terre promise comme dans une terre étrangère, habitant sous des tentes, ainsi qu’Isaac et Jacob, les héritiers de la même promesse. Car il attendait la cité qui a de solides fondements, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur.
Dans les versets 14 à 16, voici ce que nous lisons au sujet de plusieurs autres saints :
Ceux qui parlent ainsi montrent qu’ils cherchent une patrie. S’ils avaient eu en vue celle d’où ils étaient sortis, ils auraient eu le temps d’y retourner. Mais maintenant ils en désirent une meilleure, c’est-à-dire une céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu, car il leur a préparé une cité.
Puis, dans Hébreux 13, 14, nous lisons :
Nous n’avons point ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir.
Aussi dans Philippiens 3, 20, l’apôtre Paul a dit :
Mais notre cité à nous est dans les cieux d’où nous attendons aussi comme Sauveur et Seigneur, Jésus-Christ.
Cette cité promise, c’est la NOUVELLE JÉRUSALEM, appelée aussi : LA CITÉ DU DIEU VIVANT – Hébreux 12, 22 à 24 ou LA VILLE SAINTE – Apocalypse 21, 10.
Étant en Jésus-Christ, nous sommes la postérité d’Abraham – Galates 3, 29. Conséquemment, nous sommes aussi les héritiers de ces promesses.
Notre voyage de la foi se fera avec nos regards fixés sur Jésus, le chef et le consommateur de la foi – Hébreux 12, 2. Tout comme Abraham, nous marchons par la foi. Dans
Romains 4, 16 à 21 nous lisons qu’Abraham :
1. a cru
2. a espéré contre toute espérance
3. ne considéra point que son corps était déjà usé
4. ne douta point
5. donna gloire à Dieu
Nous devons tous apprendre à marcher par la foi jusqu’à notre destination finale : la cité de Dieu. Nous devons donc apprendre comment fonctionne la foi et notre livre d’instructions, c’est LA PAROLE DE DIEU, où il est écrit :
La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de LA PAROLE DE CHRIST – Romains 10, 17.
La foi est vitale pour l’enfant de Dieu. Voici ce qui est écrit dans Hébreux 11, 6 :
Or, sans la foi, il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s’approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu‘il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent.
Tout ce qui est né de Dieu triomphe du monde; et la victoire qui triomphe du monde, c’est notre foi – 1 Jean 5, 4.
La foi est tellement importante, que c’est par ce texte dans Romains 1, 17, qui affirme que le JUSTE VIVRA PAR LA FOI, que Dieu a ramené son Église qui, il y a très longtemps, s’était tellement éloignée du message évangélique, qu’on ne prêchait pratiquement plus le salut par grâce.
Ce fut l’époque de la grande réforme de l’Église dans les années 1517. À cette époque, plusieurs se levèrent contre les enseignements de Rome. Le Seigneur se révéla d’une manière toute particulière à un prêtre du nom de MARTIN LUTHER.
II se mit à étudier la Bible et, lors d’un voyage à Rome, il prit conscience de la futilité des œuvres imposées par l’église et, de retour chez-lui, ce verset lui fut révélé : LE JUSTE VIVRA PAR LA FOI.
C’est alors qu’il écrivit ses 95 thèses qu’il afficha sur les portes de l’Église de Wittenberg, en Allemagne, le 31 octobre 1517. En peu de temps, toute l’Allemagne fut embrasée par la réforme de Luther et, finalement, le monde entier. On commença à nouveau à prêcher le salut par grâce et la puissance du sang de Jésus pour pardonner les péchés.
( à suivre )
Soyez Bénis!
Mario